Sous l’impulsion de Pauline et Philippe Chandon-Moët, la propriété reprend des couleurs
Respecter l’Histoire, ce n’est pas la muséifier : au contraire, c’est la faire vivre !
Depuis 2010, le Château de Ferrand a fait l’objet d’importants travaux. Le vignoble est restructuré, replanté après une étude ampélologique approfondie des sols et une adaptation des cépages au terroir.
Les méthodes culturales sont repensées. Les bâtiments viticoles réétudiés. Les chais sont modernisés, les cuves multipliées et adaptées pour permettre une gestion parcellaire.
Le terroir est prometteur, le vin gagne en qualité.
Et en 2012, l’engagement de la famille porte ses fruits : Ferrand devient Grand Cru Classé de Saint-Émilion.
« Transmettre ce que la nature donne à l’homme et ce que l’homme donne à la nature. »
Pauline Bich Chandon-Moët
Le vin, c’est l’histoire de la nature conjointe à celle des hommes. L’une ne va pas sans l’autre. Pourtant aujourd’hui, on le voit partout dans le monde, le dialogue entre la nature et les hommes semble parfois rompu. À Ferrand nous savons que respecter la nature, c’est avant tout respecter le temps long et les saisons.
C’est ainsi que Ferrand a été entièrement repensé : tous les travaux entrepris, au niveau de la vigne, des bâtiments viticoles, ou du château lui-même, l’ont été dans une perspective durable.
Et, parce que Ferrand est Ferrand, nous avons voulu apporter de la légèreté, de la surprise et de la joie dans le renouveau du château… renouer en quelque sorte avec ses origines tout en le portant dans le XXIe siècle.
Respecter la Nature,
respecter les Hommes
Le Château de Ferrand est fermement engagé dans une démarche de transition écologique.
Cette détermination préside à chacune des décisions et s’accompagne d’une transparence dans la gouvernance. Les salariés se retrouvent au cœur de l’exigence de qualité qui fait la renommée de Ferrand. La mise en valeur et la préservation du patrimoine architectural et environnemental sont au cœur des préoccupations de chacun.
La propriété fait partie des plus importantes surfaces agricoles utiles non viticoles de l’Appellation Saint-Émilion avec près de 10 hectares de bois, de prés et d’un parc d’essences anciennes.